Quel parcours pour construire ou rénover ?

Un projet de construction ? de réalisation de travaux de rénovation ? Partez à la rencontre de l'architecte, du constructeur et de autoconstructeur !

Un projet d’achat ou de rénovation est un long cheminement. Il s’agit de se projeter, de préparer l’avenir, de réfléchir collectivement, pour bâtir un « chez-soi » qui nous ressemble.

Mais pour cela, il faut prendre le temps de la réflexion. Définir ses besoins en fonction de ses usages, déterminer et tenir son budget, acter ses priorités… autant de petits défis qui nous stimulent tout au long de notre parcours.

Le but de cette exposition n’est pas de vous donner une information exhaustive mais bien de vous apporter une vue d’ensemble des différentes étapes de votre projet, pour vous permettre d’anticiper et de bien vous préparer.

Alors, construire ou rénover ? Explorons ensemble les prérequis et les différentes étapes de ces deux parcours.

Votre choix est fait ? Il est temps de définir qui sera le chef d’orchestre de votre projet. Architecte, constructeur, vous-même… découvrez ce qu’il faut savoir sur ces différents profils.

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Format

  • 16 cadres sous verre 72 x 102 cm
  • 16 affiches 70 x 100 cm

Infos pratiques

  • Date : 2020
  • Conception et réalisation : CAUE du Doubs en partenariat avec l'illustrateur Pierre Ferrero
  • Valeur : à définir
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Maquette : ferme rénovée à Grand’Combe Chateleu

Le patrimoine témoin de l’identité et culture de notre territoire est fragile et souvent menacé, par oubli, manque de connaissance et/ou perte de savoir-faire.

Loin des protections, il n’est pas figé, il évolue et s’adapte aux nouvelles exigences et modes de vie de la société.

Nous vous proposons de découvrir cette réalisation qui œuvre pour la qualité architecturale et la mise en valeur du patrimoine bâti, environnemental ou paysager, qu’il soit dans un contexte remarquable ou modeste. Reproduction d’une ferme comtoise transformée en 5 logements à Grand’Combe Chateleu.

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Format

La reproduction en carton, bois et plexiglas au format 1/20ème d’une ferme rénovée à Grand’Combe Chateleu, divisée en 2 parties

  • Dimensions totales : longueur = 156 cm, largeur = 78 cm, hauteur max = 68 cm
  • 6 figurines au format 1/20ème
  • 2 plateaux en carton, représentant le sol et le relief autour du bâtiment
  • Dimensions totales : longueur max = 170 cm, largeur max = 74 cm
  • 1 livret présentant la ferme et sa réhabilitation
Pour son transport, la maquette est placée dans 2 coffres en bois aux dimensions suivantes :

  • Coffre 1 : Longueur 182 cm x largeur 60 cm x hauteur 84 cm
  • Coffre 2 : Longueur 182 cm x largeur 75 cm x hauteur 84 cm
  • Ces coffres servent également de support de présentation

Infos pratiques

  • Date : 2019
  • Conception et réalisation : CAUE du Doubs
  • Valeur : 3 500€
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Dessiner, voir et prévoir en compagnie de Jean Garneret

Analyser le dessin – Trouver les lignes de forces – Esquisser, révéler Affiner la perception :
Mieux voir ce que l’on voit – Apprécier pleinement le patrimoine qui nous entoure.

Se pencher sur le travail de l’ethnologue, Jean Garneret, c’est profiter d’un véritable butin lentement constitué pour connaitre le patrimoine local, le comprendre et l’aimer. À son époque, le destin des fermes comtoises oscillait entre restauration et ruine.

Aujourd’hui, certaines fermes risquent la défiguration, faute de connaissances suffisantes et de savoir-faire pour composer avec l’existant.
Cette exposition, réalisée par le Conseil d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement du Doubs, s’appuie sur les dessins de l’abbé Jean Garneret pour regarder d’un œil nouveau les fermes comtoises qui constituent notre paysage, notre patrimoine commun et y créer de nouveaux usages.

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Format

  • Un jeu de 5 cadres métalliques sous verre format A0 (80 x 120 cm) verticaux
  • Un jeu de 11 cadres sous verre format A4
  • Une frise à poser de 334 cm de long sur 9 cm de haut, se repliant sur une longueur d’environ 270 cm et une profondeur d’environ 30 cm
  • Peut être complété par une vitrine proposée par le Musée Comtois :100 cm haut x 124 cm large x 30 cm profondeur

Infos pratiques

  • Date : 2020
  • Conception et réalisation : CAUE du Doubs
  • Valeur : 2 000€
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2050, l‘odyssée du végétal

Quand l’eau et le végétal structurent notre cadre de vie

Dans le contexte du changement climatique actuel, comment intégrer les concepts de transition écologique dans notre façon de penser, de construire et de vivre ensemble la ville de demain ?
L’usage de l’eau et du végétal comme éléments structurants de nos paysages urbains prend tout son sens pour préserver les ressources naturelles, limiter les îlots de chaleur et lutter contre la baisse de la biodiversité.

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Format

  • 15 planches en alu dibond blanc, d’une dimension de 60 cm par 80 cm
  • 8 portants droits simples en bois, de 160 cm par 60 cm, équipés de pieds démontables en bois
  • 3 portants droits doubles, 1 format paravent, 2 format chevalet, d’une dimension de 160 cm par 60 cm

Infos pratiques

  • Date : 2022
  • Conception et réalisation : CAUE du Doubs
  • Valeur : 1 000€
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Exposition du CAUE 25

Architecture, patrimoine et création

"Architecture, patrimoine et création" - Exposition itinérante

Le patrimoine témoin de l’identité et culture de notre territoire est fragile et souvent menacé, par oubli, manque de connaissance et/ou perte de savoir-faire. Loin des protections, il n’est pas figé, il évolue et s’adapte aux nouvelles exigences et modes de vie de la société. Nous vous proposons de découvrir quatre réalisations qui œuvrent pour la qualité et ceci qu’elles soient dans un contexte remarquable ou modeste.

Infos pratiques

Date : 2018
Conception : CAUE du Doubs
Format : 3 maquettes
Valeur : 4000 euros

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exposition jardins

Un jardin pour quoi faire ?

Un jardin pour quoi faire ? - Exposition itinérante

A travers cinq thèmes, illustrés par 33 jardins sous toutes leurs formes, les CAUE de Franche-Comté ont voulu répondre à la question : Un jardin pour quoi faire ?

“Pour créer un lien social” : les jardins, lieux d’échange et de sociabilité, vecteur d’insertion sociale et professionnelle.

“Pour qualifier un espace public” : les aménagements paysagers d’espaces publics, dans lesquels l’équilibre minéral – végétal participe à l’urbanité du lieu.

“Pour composer un paysage” : les jardins d’agrément, publics ou privés, dans lesquels le plaisir esthétique et l’émotion priment. Composés de façon équilibrée et fleuris, ils sont une image idéalisée de la nature.

“Pour être utile” : lieux de production de légumes, de fruits et de fleurs, du simple potager au vaste verger.

“Pour une pédagogie de l’environnement” : certains lieux ont une fonction écologique et pédagogique : améliorer la qualité de l’eau, conserver des milieux fragiles, développer une didactique de la faune et de la flore locales.

Voyage à travers les espaces jardinés de la région.
En Haute-Saône, Ruhans, Gray, Autet, Brussey, Autoreille, Fougerolles et Héricourt.
Dans le Doubs, Pontarlier, Montbéliard, La Rivière-Drugeon, La Malate, Novillars, Besançon, Bournel, Froidevaux.
Dans le Jura, Montmorot, Sermange, Château-Chalon, Lons-le-Saunier, Beaufort, Frontenay, Prénovel, La Tour du Meix.
Avec un détour dans le Rhône (à Lyon), la Drôme, la Haute-Savoie (Combloux) et les Alpes-Maritimes (St Paul).

Infos pratiques

Date : Première édition 2004, mise à jour en 2012
Conception et réalisation : CAUE du Doubs, CAUE du Jura et CAUE de Haute-Saône
Format : 35 panneaux (80×130 cm) impression quadri sur bâche plastifiée, 70 baguettes alu (80 cm) et 140 pinces noires avec vis.
Valeur : 10 000€

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Exposition itinérante

Habiter autrement

"Habiter autrement" - Une exposition itinérante

La maison individuelle a de fortes répercussions sur l’environnement et son développement a profondément modifié nos campagnes.
Dans les années à venir, l’habitat va devoir s’adapter. Cette exposition réalisée par le CAUE en 2009, est toujours d’actualité.

Depuis plus de 50 ans, la maison individuelle semble s’imposer comme LA référence en matière d’habitat : plusieurs études concluent que ce type d’habitat est LE rêve de tous les Français. Mais ce modèle est-il réellement adapté aux besoins et aux évolutions de la société : personnes seules, jeunes ménages, couples vieillissants, familles monoparentales ou recomposées…Peut-on vraiment répondre à ces différents besoins en logement avec un seul type d’habitat ?

De plus aujourd’hui, ce mode d’habitat est décrié car il a de fortes répercussions sur l’environnement :

1/ Par sa consommation de terres agricoles et l’étalement dans le territoire

Chaque année, plus de 60 000 ha sont soustraits à l’agriculture pour être urbanisés, dont près de la moitié pour l’habitat. Cette consommation de territoire augmente plus vite que la population.

2/ Par l’allongement des déplacements motorisés

La voiture a fortement modifié notre mode de vie. Nous nous déplaçons plus facilement. Nous habitons loin des centres, à la recherche de terrains moins chers. Nous habitons à un endroit, travaillons à un autre, achetons ou nous divertissons encore ailleurs. Pour un foyer, la possession de deux voitures devient souvent une nécessité. Cela représente parfois un budget équivalent au remboursement de la maison.

3/ Par ses profonds bouleversements des paysages

Les villages se sont construits petit à petit en lien avec leur site. L’urbanisation pavillonnaire a bouleversé cette logique. Une rupture s’opère avec le village ancien par l’implantation, l’organisation, le rapport au site, les constructions.

Alors que tous les villages sont différents, leurs nouveaux quartiers se ressemblent. Le lotissement est devenu une forme de quartier stéréotypé : des rues en impasse qui desservent des parcelles de même taille avec une maison au milieu.

4/ Par un appauvrissement des espaces publics

Dans la rue du village, la maison ancienne est en relation avec l’espace public. Elle est construite par rapport à ses voisines, souvent en mitoyenneté. Dans le nouveau quartier, la maison s’implante librement au milieu de son terrain, loin de la rue sans tenir compte des autres. Chacun s’isole derrière une haie.

5/ Par la production de produits standardisés

La maison individuelle est devenue un produit de consommation standardisé et normalisé que lʼon choisit dans un catalogue. La séduction par l’image et la recherche de performance labellisée se fait souvent au détriment de la qualité de l’architecture : absence de relation au terrain et au site, manque d’organisation des espaces intérieurs…

Mais alors, comment habiterons-nous demain ? Quel avenir donner à l’habitat pavillonnaire, consommateur d’espace, d’énergie et tributaire de l’automobile ?

Au travers d’une douzaine de réalisations marquantes, l’exposition explore ce que pourrait être notre habitat demain, économe en territoire, respectueux de nos paysages, créatif et innovant :

  • « Prairie Madame » à Langouët (Ille-et-Vilaine) : un quartier à l’échelle du piéton
  • Un hameau à Chaon (Doubs) : le hameau et son paysage
  • L’extension du centre à Servon-sur-Vilaine (Ille-et-Vilaine) : dans la continuité du centre-bourg
  • Les lofts dʼÉcole-Valentin (Doubs) : la réhabilitation d’un bâtiment industriel
  • Le Clos de lʼErdre à Nantes : autour d’un parc
  • La ferme des Marcassins à Villers-le-Sec : habiter la grange
  • Les Hauts de Feuilly à Saint-Priest : maisons en mitoyenneté

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Infos pratiques

Date : 2009
Conception et réalisation : CAUE du Doubs
Format : 10 affiches (60 x 120 cm) impression recto quadrichromie sur bâche anti-feu – 20 baguettes et crochets.
Facilement transportable, dans 3 tubes cartons
Valeur : 500€

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Exposition itinérante du CAUE du Doubs (CAUE25) - Toitures végétalisées

Toitures végétalisées

"Toitures végétalisées" - Exposition itinérante

Montrer l’intérêt de végétaliser sa toiture.
Les éléments d’un toit vert, des exemples de plantes, et quelques toitures végétalisées dans la région.

5 bonnes raisons de choisir la toiture végétalisée

 1. Améliorer l’esthétique des toitures
Les fleurs et les herbes vives procurent une impression visuelle agréable, renouvelée au rythme des saisons.
Une toiture végétalisée permet de favoriser l’intégration d’une construction dans un site.

2. Participer à la protection de l’environnement
Les végétaux améliorent la qualité de l’air par la production d’oxygène et par la fixation du gaz carbonique. Le tapis végétal fixe les poussières et humidifie l’air asséché par la pollution urbaine. Il permet la reconstitution d’un véritable maillage écologique et de corridors, qui autorisent au sein de la ville la circulation d’espèces animales et végétales.

3. Protéger la toiture
L’étanchéité protège le bâtiment des intempéries mais a elle-même besoin d’être protégée.
La végétation joue ce rôle de façon optimale. Les plantes protègent la toiture des agents atmosphériques et des rayons ultra-violets
Par son rôle de régulateur des variations de température, le système évite les chocs thermiques et réduit les sollicitations propres à la toiture : dilatation, retrait.

4. Renforcer le confort phonique et thermique
Eté comme hiver, la couche végétale participe à l’isolation thermique. Elle filtre également les bruits. Les bruits d’impact (pluie, grêlons) sont fortement amortis.

5. Réguler les eaux pluviales
A l’image d’une éponge, la couche végétale offre également un effet régulateur important sur l’évacuation des eaux de pluie. Elle permet de lutter contre les effets néfastes de l’imperméabilisation des sols. La toiture végétalisée accumule l’eau dont une partie est utilisée par les plantes, une autre est évaporée et une autre évacuée par les canalisations avec un retard favorisant le bon écoulement. Annuellement, un toit végétal peut absorber jusqu’à 50% de la quantité d’eau tombant sur les toits.

Les éléments d’un toit vert

Un toit végétal est constitué essentiellement de cinq composantes. En partant du support de toit, on retrouve :
– la structure portante, qui peut être en béton, en acier ou en bois,
– pare-vapeur,
– isolation,
– une membrane d’étanchéité et couche de protection,
– une couche de drainage,
– un substrat de croissance,
– une couche végétale.

Selon l’épaisseur de substrat et le degré d’arrosage souhaité, on pourra faire une plantation de type extensive, semi-extensive ou intensive.

Plantation extensive :

Il s’agit d’un type de plantation de faible épaisseur (3 à 15cm environ) réduisant l’installation de mauvaises herbes. Cette plantation utilise surtout une végétation de type naturel associant des plantes qui se régénèrent et s’entretiennent quasiment d’elles-mêmes, constituant ainsi un couvert végétal permanent.
L’entretien est restreint et il n’y a pas d’arrosage sauf en cas de sécheresse prolongée.

Plantation semi-extensive :

Utilisée pour réaliser un espace décoratif en toiture, c’est aussi une plantation de faible épaisseur (15 à 30 cm environ) adaptée aux petites et moyennes surfaces.
Un système d’arrosage est indispensable. Le substrat d’une culture semi-extensive est généralement composé d’environ 50% d’agrégats poreux. La végétation de type horticole est composée de gazons à croissance lente, de plantes vivaces et d’arbustes ornementaux. L’entretien est modéré.

Plantation intensive :

Elle conduit à la réalisation d’une toiture-terrasse jardin. Elle nécessite l’intervention de professionnels. L’épaisseur du substrat dépasse 30 cm, pouvant atteindre 1m ou 2m de profondeur pour la plantation d’arbres ou d’arbustes. Un arrosage si possible automatique est à prévoir car les plantes seront exigeantes en eau. Les charges sur toitures, liées à l’épaisseur du substrat, sont importantes.

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Infos pratiques

Date : 2007
Conception et réalisation : CAUE du Doubs
Format : 8 panneaux (164X60 cm), impression quadri recto, plastification brillante, semi rigide, recto verso, collage sur structure bois en échelle.
Valeur : 800€

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Exposition Le Corbusier

Connaître Le Corbusier

"Connaitre Le Corbusier" - Exposition itinérante

Réalisée à l’occasion du centenaire de Le Corbusier, elle présente l’ensemble de l’œuvre de l’architecte (architecture et urbanisme, peinture et sculpture, plastique et poétique, etc.) en huit thèmes principaux :

L’homme et la jeunesse / Jeunesse et formation / Définitions et réflexions architecturales / Standardisation et industrialisation / L’habitat individuel / L’habitat collectif / L’urbanisme / La synthèse des arts majeurs

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Infos pratiques

Date : 1987
Conception : Fondation Le Corbusier en partenariat avec le Ministère de la Culture et de la Communication
Format : 31 affiches (86×113 cm) dont 15 impressions noir et blanc et 16 impressions quadrichromie plastifiées avec œillets pour un accrochage vertical.
Espace d’exposition requis 35m linéaire.
Panneaux roulés
Volume 0,65m3
Valeur : 2000 euros

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