Pour un habitat qui vous ressemble

Un projet d’achat, de construction, d’extension ?
Des travaux de rénovation ? Une envie d’aménager vos extérieurs ?

Nos architectes et paysagistes conseillers vous aident à définir votre projet selon vos besoins, votre budget et vos envies !

Architecture et aménagement intérieur

Que vous souhaitiez construire une maison neuve ou rénover un bâtiment existant, de nombreux critères sont à prendre en considération avant de vous lancer.

Si vous avez un projet de construction, il est important d’analyser la topographie de votre terrain et ses possibilités pour une bonne implantation (exposition, vue…).
Si vous avez un projet de rénovation ou de réhabilitation, il convient de prendre en compte les caractéristiques du bâtiment existant et des abords pour un résultat qualitatif et bien inséré dans son environnement.

Dans tous les cas, le changement climatique nécessite aujourd’hui de prendre en compte de nouvelles donnes : ensoleillement / ombrage, énergies naturelles, isolation thermique…

Construire votre future habitation

Du premier rendez-vous à la remise des clés, un projet de construction est un long cheminement. Comment appréhender une parcelle constructible pour y implanter votre maison ? Quels sont les coûts liés à votre projet ? Quel style architectural donner ? Quels matériaux utiliser ? Comment réaliser une construction harmonieuse avec le paysage et respectueuse de l'environnement ?

Nos architectes conseillers vous informent en amont de votre projet afin de vous aider à définir votre besoin et peuvent vous accompagner dans la constitution de votre dossier de demande de permis de construire.

Réhabiliter votre patrimoine

Les règles d’urbanisme, la prise en compte de l’environnement naturel et bâti et la préservation du patrimoine sont des enjeux majeurs qui encadrent souvent les projets de réhabilitation. Comment intégrer ces trois dimensions dans votre projet de réhabilitation ? Comment isoler la construction ? Où positionner de nouvelles ouvertures ? Quelles énergies choisir ? Comment récupérer l’eau de pluie ? Quels sont les matériaux naturels ?

Nos architectes conseillers vous aident à prendre en compte les caractéristiques patrimoniales de votre bâtiment, vous apportent un conseil personnalisé et peuvent vous orienter vers les demandes de subventions auprès d'organismes locaux ou de collectivités territoriales.

Rénover un bâtiment ancien

Les projets de rénovation mêlant l'ancien au contemporain peuvent parfois se révéler complexes s'ils ne sont pas bien préparés et anticipés. Il faut trouver l'équilibre fragile entre architecture moderne et respect du patrimoine. Comment rénover un bâtiment ancien ? Quels travaux prévoir pour rénover la toiture de votre maison ? Comment aménager ses espaces intérieurs ? Comment prévoir et organiser sa future habitation ? Comment éviter les pertes énergétiques ?

Nos architectes conseillers vous accompagnent et vous aident à planifier les étapes de votre projet pour une rénovation réussie.

Aménagement extérieur paysager

Les espaces extérieurs font partie intégrante de l’habitation et contribuent grandement à notre bien-être. Ils sont parfois un refuge qui permet de se ressourcer, de jardiner, de se relaxer, de jouer, de contempler. La végétalisation du jardin présente également de nombreux avantages : esthétisme, biodiversité, protection contre la chaleur…

C’est pourquoi nous sommes convaincus qu’un aménagement paysager de qualité est essentiel pour que le jardin constitue une nouvelle “pièce à vivre”.

Aménager votre extérieur

L’analyse des espaces extérieurs (situation, vues, orientations, type de sol) est essentielle et mérite qu’on s’y attarde dès la conception du projet… de construction ! Aborder la conception de votre projet en lien avec les espaces extérieurs vous permettra de faire un choix éclairé sur les végétaux qui s’épanouiront le mieux dans votre jardin. Si vous envisagez d’aménager une terrasse ou un angle de jardin, il est nécessaire de l’anticiper afin de l’intégrer dans la conception globale de vos extérieurs.

Notre paysagiste conseillère vous aide à identifier et prendre en compte les qualités et défauts de votre terrain, mais aussi les conditions climatiques, paysagères et naturelles actuelles. Elle peut vous donner des pistes pour valoriser, développer et enrichir votre jardin.

Décorer votre jardin

Une fois la structure du jardin déterminée, il convient de lui donner un volume et surtout une ambiance. Le choix des matériaux et des végétaux doit répondre à plusieurs critères qui permettront d’obtenir des résultats qualitatifs et pérennes. L’aspect technique des matériaux et leur mise en œuvre, les associations pertinentes de formes et de couleurs des végétaux… sont les clés d’un jardin réussi.

Notre paysagiste conseillère vous informe sur les éléments importants de la première phase de conception de vos espaces extérieurs et peut vous accompagner dans le choix des végétaux et matériaux les plus adaptés à votre terrain.

Entretenir vos espaces verts

Que vous soyez jardinier occasionnel ou amateur, l’entretien de votre jardin et de vos extérieurs est indispensable. Le jardinage demande du temps et de la rigueur, mais le jeu en vaut la chandelle.

Notre paysagiste conseillère vous donne des méthodes pour votre aider à faire vivre vos espaces verts et vous informe sur le coût d’un jardin paysager et son entretien.

Foire aux questions

Une construction passive utilise les principes de l’architecture bioclimatique pour tirer le meilleur parti des apports solaires gratuits mais dont il faut se protéger en période chaude. En règle général, en construction neuve, on choisira sur le terrain l’endroit privilégié pour bénéficier au maximum :

  • des protections naturelles au vent froid et au soleil estival par les mouvements de terrain naturel et la végétation existante
  • de l’ensoleillement hivernal en évitant les masques portés par les feuillages persistants, le relief et les bâtis existants.

La plantation d’un arbre peut par exemple être utile au rafraîchissement de votre maison. Pour cela, il est nécessaire de réfléchir à la manière dont sont exposées vos façades. En architecture bioclimatique, il est notamment préconisé de se protéger de la lumière rasante du soir, qui pénètre de manière beaucoup plus directe dans vos pièces de vie que la lumière du Sud, plus verticale. Ainsi, la plantation d’un arbre caduque à l’Ouest de votre maison peut représenter une grande plus-value au confort d’été sans empêcher une bonne luminosité hivernale.

Pour en savoir plus, consultez notre fiche conseil : Confort d’hiver, confort d’été

Plusieurs principes d’aménagement peuvent permettre d’augmenter le phénomène d’îlot de fraîcheur de votre jardin grâce à la présence du végétal et de l’eau, essentiels pour bien vivre ses espaces extérieurs lorsque le thermomètre augmente.

  • Limiter au maximum la surface des espaces imperméabilisés de votre jardin en installant des matériaux poreux ou en aménageant un bassin par exemple.
  • Planter des arbres d’ombrage à proximité de vos espaces de vie. En plus de l’ombre, l’évapotranspiration opérée par l’arbre lors de sa photosynthèse permet de rafraîchir significativement l’air ambiant.
  • Créer un espace de transition entre votre intérieur et vos extérieurs. Une pergola végétalisée au niveau d’une porte-fenêtre peut permettre de créer un sas de température intermédiaire entre votre salon et votre terrasse.

Pour en savoir plus, consultez notre conseil d’expert : Comment bien vivre son jardin en été ?

Chaque construction trouve place dans un site d’abord naturel, puis dans une ville ou un village. Lorsque l’on observe la commune depuis le lointain, on ne remarque pas les détails de construction. On voit en général une homogénéité qui est liée à la forme et à la couleur des toits, à la façon d’implanter les constructions ou aux couleurs les plus présentes en façade. La beauté de ce paysage est entre autres liée à sa cohérence.

Lorsque que l’on se rapproche des constructions, on prête davantage attention aux détails et aux effets de contraste entre les différents éléments colorés des façades. L’ambiance du quartier est plus perceptible, et toute teinte très différente de l’existant apparaît comme une « verrue ».
Le choix d’une couleur harmonieuse et cohérente avec celles des autres bâtiments est donc primordial.

Afin de caractériser la couleur, on peut utiliser les trois critères suivants :

  • La couleur fondamentale : correspond à la teinte dominante de chaque nuance. Ces couleurs sont par exemple le beige, l’ocre jaune, l’ocre orange, le brun, le bleu, le vert et le rouge.
  • L’intensité : traduit le décalage progressif qui s’applique à une couleur, de sa version la plus effacée et celle la plus saturée.
  • La valeur : traduit le décalage progressif qui s’applique à une couleur, de sa variante la plus claire à celle la plus sombre. À l’extrême, une couleur sombre s’approche du noir (une couleur sombre n’est pas nécessairement vive).

Pour en savoir plus, consultez notre fiche conseil : Couleurs et façades

Il est important de distinguer deux types de fissures : les fissures actives et les fissures inertes.

Pour savoir quel est le type de fissure, il convient de mettre en place des jauges graduées : si elle n’évolue pas au bout d’un mois, c’est une fissure inerte, elle peut être rebouchée. Pour les fissures actives, il peut être compliqué de déceler d’où vient le désordre.

Pour en savoir plus, consultez notre fiche conseil : Pathologies de la maison – Tome 1

Si l’on ne tient pas compte des causes accidentelles (fuites d’eau de canalisation, gouttières, etc.), les trois principales sources d’humidité sont les suivantes :

  • Les remontées capillaires : l’eau présente dans le sol imprègne les murs de maçonnerie enterrés, puis remonte par capillarité à l’intérieur de ceux-ci.
  • Les infiltrations d’eau de pluie : les murs des bâtiments anciens sont rarement étanches ; les matériaux poreux ainsi que les fissures laissent pénétrer l’eau de pluie ou la neige.
  • L’humidité de condensation : on appelle « condensation » le passage à l’état liquide de la vapeur d’eau contenue dans l’air. Les principales manifestations du phénomène de condensation sont : la buée sur les vitres dans le logement ; le brouillard et la rosée dans la nature.

Pour en savoir plus, consultez notre fiche conseil : Pathologies de la maison – Tome 2

Que ce soit pour construire ou rénover, ce sont les règles d’urbanisme qui définissent ce qu’il est possible de faire ou non sur votre terrain.

Pour connaître ces règles, la première étape consiste à vérifier s’il existe un document d’urbanisme. Vous pouvez le vérifier sur le site www.geoportail-urbanisme.gouv.fr. La plupart des documents d’urbanisme en vigueur sont disponibles en ligne sur ce site, mais pas tous. Dans ce cas, il faudra se rendre sur le site de votre commune ou directement en mairie.

Il y a 3 possibilités :

  • plan local d’urbanisme (PLU, communal ou intercommunal),
  • carte communal,
  • aucun document.

La seconde étape est de connaître la zone dans laquelle se trouve le terrain. Là encore, plusieurs cas de figure :

  • Dans un PLU : le terrain se situera dans un des 4 grands types de zone : zone U (urbanisée), zone AU (à urbaniser), zone A (agricole) ou zone N (forestière). Ces 2 dernières zones sont généralement inconstructibles (sauf activité agricole ou forestière). Pour les zones U et AU, il faudra regarder le règlement écrit pour connaître le détail des règles qui s’appliquent, et notamment les destinations, hauteurs, implantations, aspects extérieurs… autorisées. Attention, les zones AU sont généralement à aménager à partir d’un projet d’ensemble.
  • Dans une carte communale : le terrain sera soit en zone constructible, soit en zone inconstructible. Seuls les terrains situés dans la zone constructible peuvent accueillir de nouveaux bâtiments, mais la rénovation, l’extension ou le changement de destination sont possibles partout. Les règles qui s’appliquent sont celles du Règlement national d’urbanisme (RNU), c’est-à-dire les R111-1 à R111-53 du Code de l’urbanisme.
  • Si absence de document : seuls les terrains situés dans l’espace déjà urbanisé sont constructibles, mais la rénovation, l’extension ou le changement de destination sont possibles partout. Là encore, les règles qui s’appliquent sont celles du RNU.

D’autres subtilités peuvent exister, et en cas de doute, il est préférable d’avoir l’avis d’un expert : service ADS (Autorisation du droit du sol) des collectivités ou…Maison de l’habitat du Doubs !

Les espaces protégés sont des ensembles présentant un intérêt patrimonial culturel (au titre de l’histoire, de l’architecture, de l’urbanisme, du paysage, de l’archéologie). Ils englobent des éléments bâtis et paysagers et sont constitués par :

  • des monuments historiques classés ou inscrits et des périmètres de protection aux abords de ces monuments historiques,
  • des sites patrimoniaux remarquables : plans de sauvegarde et de mise en valeurs (PSMV) ou plans de valorisation de l’architecture et du patrimoine (PVAP),
  • des sites classés et inscrits.

Pour savoir si votre construction (existante ou à venir) est concernée par une de ces protections, il est possible de consulter le site « Atlas du patrimoine » : http://atlas.patrimoines.culture.fr. Vous pouvez aussi contacter notre urbaniste pour avoir une confirmation.

La protection au titre des abords de monument historique est une servitude d’utilité publique. Conséquence : si votre projet se situe dans un « périmètre monument historique », l’architecte des bâtiments de France (ABF) donnera son avis sur votre demande de travaux (permis de construire ou déclaration préalable de travaux) dès lors qu’elle concerne la modification de l’aspect extérieur d’une construction existante, une construction neuve, mais aussi une intervention sur les espaces extérieurs.

Mais cet avis diffère selon qu’il s’agit d’un périmètre de 500 mètres de rayon ou d’un périmètre délimité des abords (PDA) :

  • Si périmètre de 500 mètres, 2 cas de figure :
    • Il y a covisibilité (= les travaux sont visibles depuis le monument classé OU les travaux et le monument historique sont visibles ensemble depuis un tiers point) : l’ABF formulera un avis « conforme », c’est-à-dire que votre demande de travaux devra le respecter strictement ;
    • Il n’y a pas covisibilité : l’ABF émet un avis simple, assorti de recommandations ou d’observations au titre de la qualité architecturale, urbaine et paysagère. Elles peuvent être reprises par le service qui instruit votre demande de travaux.
  • Si PDA : l’ABF formulera un avis « conforme » pour tout projet situé dans le périmètre (qu’il y ait ou non covisibilité), avis qu’il faudra donc nécessairement respecter.

Autre point à savoir, les délais d’instruction de votre demande de travaux seront allongés d’un mois par rapport à la durée légale :

  • 2 mois au lieu d’1 mois en cas de déclaration préalable de travaux
  • 3 mois au lieu de 2 mois en cas de permis de construire

Dans tous les cas, nous vous suggérons, pour éviter un refus de permis et avant de vous lancer dans la constitution de votre dossier de travaux, de prendre contact avec les services de l’UDAP du Doubs (https://www.doubs.gouv.fr/Services-de-l-Etat/Culture/Unite-Departementale-de-l-Architecture-et-du-Patrimoine-UDAP) pour avoir une première orientation par rapport à votre projet. Vous pouvez aussi consulter le service instructeur des droits du sol de votre commune. Ou bien sûr, rencontrer l’un de nos conseillers !

“Le paysagiste concepteur est le maître d’œuvre des projets et des études d’aménagement de l’espace extérieur. Ses échelles d’interventions s’étendent du jardin au territoire et comprennent :

  • les espaces publics,
  • l’urbanisme opérationnel,
  • les grandes infrastructures,
  • les espaces naturels, culturels et ruraux,
  • la planification,
  • le grand territoire.

Complémentaire et partenaire des autres métiers de la conception et de la maîtrise d’œuvre – écologue, ingénieur, architecte, urbaniste – partageant des savoir-faire avec l’un ou l’autre, le paysagiste concepteur ne se confond pour autant avec aucun de ces métiers.”

Définition proposée par la Fédération française du paysage.

Ainsi le titre de paysagiste-concepteur est protégé par la loi au même titre que celui d’architecte de bâtiment (cf. liste nationale consultable sur le site du ministère de la transition écologique).

De son côté, l’entrepreneur ou jardinier-paysagiste travail à l’échelle du jardin. Il se destine à la réalisation de travaux d’aménagements paysagers, voire d’entretien (tonte, taille, plantation..).

Des entreprises de paysage peuvent également intervenir au moment du chantier dans le cadre de marchés publics.

Pour comprendre facilement, on peut faire le parallèle entre le binôme « Architecte / Maçon » et celui « Paysagiste-concepteur / Jardinier-paysagiste.”

En limite de jardin, la haie est le plus souvent mise en place dans un objectif de brise-vue, voire de coupe-vent.

Marquant la frontière entre les propriétés, ou entre l’espace public et la parcelle privée, elle joue également un rôle essentiel en terme agronomique, auprès de la biodiversité et dans le cadre des continuités écologiques si sa composition est bien pensée. Une haie brise-vue doit bien sûr répondre à sa raison d’être première : protéger du regard. Pour autant, il ne faut jamais négliger l’importance de considérer ses autres fonctions (niche écologique, maintien des sols, infiltration des eaux pluviales…).

Les différents types de haie :

  • Haie taillée ou haie libre
  • Haie monospécifique ou haie variée

Petit point réglementaire :

  • un végétal mesurant à taille adulte moins de 2m doit être planté à minimum 40cm de la limite de propriété,
  • un végétal dont la taille adulte est supérieure à 2m, doit être planté à minimum 2m de la limite de propriété.